Quel est le « juste coûts » du pétrole ? La question est saugrenue tant la réponse paraît dépendre des intérêts en présence. Mais, sans doute un optimum professionnelle. Au moment où le baril de brut est tombé sous les trente dollars après un pic à 115 dollars en juin de l’année 2014, les destinations producteurs, les compagnies pétrolières et les destinations testeurs s’accordent sur un point : ce cours est trop bas et ne à la capacité de pas durer.Le juste coûts du pétrole, c’est celui qui donne la possibilité d’assurer la rentabilité des investissements de production sans tuer la demande de pétrole. cela est aussi un coûts assurant l’équilibre financier des destinations producteurs sans pénaliser l’économie des destinations testeurs. De nombreux analystes estiment qu’il se situerait autour de 70 dollars, loin des 90-100 dollars revendiqués par l’Arabie saoudite au début de la décennie.Un cours oscillant autour de 70 dollars donne la possibilité aux destinations producteurs de financer leurs dépenses. La majorité d’entre eux établissaient fréquemment leur montant sur des anticipations d’un baril à plus de 100 dollars, et pas mal ne l’équilibraient qu’au-delà. Tous les destinations producteurs aux économies peu diversifiées et dépendantes des hydrocarbures ( Russie, Arabie saoudite, Venezuela, Algérie… ) ont placardé de lourds déficits budgétaires en 2015. Les mesures qu’ils ont dû prendre pour 2016 sont drastiques.Lire aussi : La chute sans fin du coûts du pétrolePeu de barils rentables sous les cinquante dollarsPour les compagnies pétrolières, des coûts importants ne sont pas que le gage de profits plus prises et de juteux dividendes pour leurs actionnaires. Ils permettent d’investir pour atteindre et exploiter les gisements de demain et renouveler leurs réserves. Faute de quoi la raréfaction de l’offre entraînera une remontée des coûts qui peut être brutale s’il y a un fort déséquilibre entre offre et demande. Or peu de barils sont rentables sous les cinquante dollars, sauf dans la péninsule Arabique. Entre 2005 et 2013, où les coûts ont grandement remonté pour parvenir à des sommets, jamais les dépenses en impératif des sociétés pétrolières n’avaient été aussi élevées, atteignant un record en 2013. A trente dollars, elles vont encore les diminuer massivement et supprimer des emplois en plus.Pour les destinations importateurs, un baril oscillant autour de 70 dollars est très supportable, puisqu’ils ont su s’adapter à 90-110 dollars entre 2010 et de l’année 2014. Il relance un peu l’inflation, tombée à des niveaux proches de null. Mais pour la facture énergétique du destinations, le budget immédiat des testeurs et la code promo du déficit commercial, toute hausse est préjudiciable.Une dernière composante intervient : la lutte contre montée de la température. Plus le pétrole est cher, plus les énergies options et propres sont compétitives et moins les automobilistes sont incités à utiliser leur train.